Depuis la fin du XIXe siècle, des dizaines de motifs en reliefs ont imprimé la surface des verres coulés. Marguerites, fleurs de lys, chevrons, byzantiques, soleils, monumental, nucléo, mauresque, compositions géométriques ou diamantées, parfois émaillées ou colorées, d’innombrables variantes ont accompagné l’évolution des modes pour assortir les vitrages aux décors les plus inattendus.
Les vertus ornementales du produit ne doivent cependant pas masquer la diversité des qualités lumineuses qui en découlent, comme l’exposent très clairement les courbes isolux publiées dans les années 1950, chargées de détailler scientifiquement les propriétés diffusantes ou réfractante du matériau.